En pizzeria, une carrière dépend toujours du choix de sa paire de chaussures
Métaphore basée sur l'histoire du marathonien favori des JO de 2004
Greg Brotcorne
8/20/20252 min read


« On ne perd jamais. Soit on gagne, soit on apprend. »
Nelson Mandela
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Nan mais franchement ... Il s’appelait Tesfai.
Un gamin Ethiopien d’Addis-Abeba qui courait pieds nus dès 8 ans, plus vite que tous les gamins de son quartier.
À 15 ans, il était déjà repéré par les entraîneurs nationaux. À 18 ans, il représentait l’Éthiopie aux Jeux Olympiques d’Athènes en 2004.
Tout était là : l’entraînement acharné, le mental de champion, les kilomètres avalés chaque matin à l’aube, l’humilité d’un enfant devenu espoir pour tout un pays. Tesfai avait le coeur, la tête et les jambes.
Mais la veille de la course, tout a basculé.
L’Éthiopie venait de signer un contrat commercial avec Adidas. Exit les Nike qui avaient toujours épousé ses foulées. Pour la gloire nationale, Tesfai devait chausser de nouvelles baskets.
Au 24ᵉ kilomètre, alors qu’il comptait plus de 400 mètres d’avance, son pied droit a doublé de volume. Une douleur articulaire fulgurante l’a plié en deux.
Il a vu passer un adversaire, puis un deuxième, puis un troisième.
Il a terminé 27ᵉ.
Sa carrière, brisée ce jour-là, aurait pu être sauvée si on lui avait laissé le choix de ses chaussures.
Hé toi, pizzaiolo, est-ce que tu as déjà vécu cette émotion dans ton travail ?
Tout donner.
Se former.
Passer des nuits à perfectionner ton levain. Aller chercher le meilleur producteur de tomates, le basilic le plus frais.
Et voir ton effort gâché… parce qu’un four médiocre brise tout.
Comme Tesfai avec ses chaussures, ton four peut être l’élément qui décide de ton succès ou de ton échec.
Et parfois, ce n’est même pas toi qui as pris la mauvaise décision.
Tu reprends un fonds de commerce, et tu hérites d’un four bas de gamme choisi par l’ancien propriétaire.
Tu bosses pour un patron, et tu dois subir le choix qu’il a fait « pour économiser ».
Résultat ?
Des pizzas brûlées d’un côté, blanches de l’autre. Des clients qui repartent déçus. Des avis Google qui font mal.
Tout ton travail, toute ta passion, réduits en poussière par un mauvais outil imposé.
Alors oui, c’est un investissement.
Mais un four haut de gamme, ce n’est pas un luxe. C’est la paire de chaussures qui tient la distance.
C’est un marathon terminé debout, pas un rêve brisé au 24ᵉ kilomètre.
Et crois-moi, je parle d’expérience. Après plus de 2000 élèves formés, j’en ai vu des Tesfai de la pizza. Des artisans incroyables qui se faisaient saboter par une mauvaise décision stratégique, ou pire, par le choix d’un autre.
Mais j’ai aussi vu des réussites fulgurantes dès qu’ils ont décidé d’investir dans l’outil juste.
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Parce que ton talent mérite mieux que de finir 27ᵉ.
En définitive, l’histoire de Tesfai nous apprend une chose simple :
Tu peux avoir tout le reste.
Mais si tu compromets sur l’essentiel, tout peut s’écrouler.
Ne laisse pas une mauvaise décision – la tienne ou celle d’un autre – définir ton avenir.
Tu as les cartes en main pour courir ta propre course.